mardi 7 juillet 2015

climat

Le 24/05/2015 21 h …. une fleur en devenir
L’après d’une conférence sur le climat et les conséquences, de nos choix
(chez nous, mais surtout à l’autre bout de la planète, chez ceux qui profitent peu du progrès mais beaucoup de la destruction de leur milieu auquel ils sont adaptés et attachés)
Je n’ai pas l’impression d’avoir appris du nouveau, mais une confirmation avec chiffres et preuves à l’appui. Je ne m’attache pas aux chiffres et ils repartent sans insister.
Les solutions proposées par le conférencier, j’en ai adoptées certaines depuis de nombreuses années et au fur et à mesure de ma propre compréhension et surtout de la possibilité d’appliquer, je m’améliore.
Je ne modifie pas mon mode de vie par peur du réchauffement de la planète mais par respect pour elle et la vie qu’elle abrite.
Une personne de la salle a proposé de demander aux politiques (plutôt qu’aux citoyens) de changer leur politique.
Nous connaissons déjà les priorités des élus et non élus au pouvoir depuis toujours.
Bien sûr de telles priorités ne datent pas d’aujourd’hui nous les avons appréciées génération après génération, elles ont le même but depuis des lustres.
Voila tout ce bla bla bla (le mien bla bla) pour en venir à ce que je veux dire …
Si l’on est conscient que tout ne va pas pour le mieux et si l’on désire que l’humain évolue durablement et dans le bon sens …
Mon avis (qui n’engage que moi, il y en de multiples) est qu’il est préférable de concentrer les efforts de chacun à son évolution personnelle.
Il ne suffit pas de savoir et de comprendre, mettre en application est complexe. Une première chose apprendre la patience vis-à-vis de soi.
Les changements décidés et choisis en conscience sont difficiles à tenir, rien n’est gagné d’avance …
Les habitudes et les mouvements dominants ou majoritaires sont très présents pour ne pas dire très pesants …
Le conférencier instruit de l’effort personnel à fournir prend en exemple le colibri, auquel il s’identifie.
Un petit oiseau très afféré à faire sa tâche …
Sœur Emmanuelle (excusez-moi si je me trompe de prénom, je ne me trompe pas de sœur)
Elle se comparaît à une goutte d’eau, si elle n’était pas là elle manquerai à l’océan.
Bien que ces deux personnes veuillent rester modestes et c’est tout à leur honneur. Leur comparaison est tout de même un peu orgueilleuse.
Les oiseaux sont très volontaires et ne perturbent pas le climat avec leur mode de vie…
Et une goûte d’eau est une part de l’océan et un océan est une masse importante sur la planète.
Certainement que pour la planète l’humain est tout aussi agaçant que les mouches, les moustiques ou les souris le sont pour nous humains
(là je parle sans bien connaître l’utilité des mouches et des moustiques dans l’écho système, je sais que les souris sont la nourriture principale de beaucoup d’autres animaux)
Bon cela ne fait de mal à personne d’avoir un peu d’orgueil.
Se remettre en question sans que personne ne nous l’impose est déjà un grand pas en avant …
Voila moi aussi je me compare à une fleur, bien que je dise …
une fleur en devenir …
Suivant le regard que l’on pose
les situations ne racontent pas la même histoire ….